Maçonnerie d’Adoption und Mopsorden

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Maçonnerie d’Adoption und Mopsorden

Bearbeitung Roland Müller


Maçonnerie d’Adoption und Mopsorden

Allgemeines Handbuch der Freimaurerei.
Zweite völlig umgearbeitete Auflage von
Lenning’s Encyclopädie der Freimaurerei.
Zweiter Band, Leipzig: F. A. Brockhaus 1865, 255-260, 346
Erster Band, 1863, 211

[Der Text zur Maçonnerie d’Adoption ist eine starke Erweiterung – unter Übernahme aller Zitate – und vor allem Aktualisierung des gleichnamigen Beitrags in:
C. Lenning: Encyclopädie der Freimaurerei. Zweiter Band, H bis M. Leipzig: F. A. Brockhaus 1824, 370-277.]


Maçonnerie d'Adoption (Adoptive Masonry, Angenommene Freimaurerei, Freimaurerei der Damen, Adoptie-Maçonnerie).

Die Aufnahmefähigkeit zum Freimaurer erstreckt sich nur auf die Männer, nicht auf die Frauen und war schon frühzeitig Veranlassung zu Schriften, worin der Grund der Ausschliessung des schönen Geschlechts untersucht wurde.
(Kloss, Bibl., Nr. 262. [= Sendschreiben eines F. M. an Mylord Robert Truell, einem Mitglied der Gesellschaft der Plauderer, über die Ausschliessung des schönen Geschlechts aus der Gesellschaft der F. M.. Aus dem Engl. (Halberstadt) 1741. 8. S. 40.] )

Damit jedoch begnügten sich die Brüder in Frankreich nicht, sondern versuchten schon um 1730 den Frauen Zutritt zu verschaffen, indem sie verschiedene Gesellschaften errichteten, welche unter mehr oder weniger ausgeprägten maurerischen Formen den Frauen Zutritt gestatteten.
Dergleichen seit 1740 vorzüglich auftauchende, zum grssen Theil nur kurze Frist währende Genossenschaften waren
der Orden der Möpse,
l'ordre de la Félicité ou des Félicitaires,
l'ordre des Chevaliers et Chevalières de l'ancre,
I'ordre des Chevaliers et Nymphes de la Rose,
!'ordre des Fendeurs,
l'ordre des Dames éccossaises de l’hospice du Mont-Tabor
 l'ordre de Ia Persévérance,
l'ordre des Chevaliers et Dames Philochoréites, ou Amans du plaisir,
des berüchtigten Cagliostro Ia Maçonnerie égyptienne,
l'association des Compagnes de Pénélope u. a. m.

Jede dieser Genossenschaften hatte ihre verschiedenen Grade und Rituale, aber im ganzen war bis zum J. 1760 in alledem kein rechter Zusammenhang mit der Freimaurerei, der erst seit 1774 eintrat, wo 11. Juni der Grossorient beschloss:
“Dass kein Maurer sich in einer Adoptionsloge befinden dürfe ausser mit regelmässigen Maurern und wenn sie vom Meister einer regelmässigen Loge, oder in seiner Abwesenheit von dessen Beamten gehalten werden.”

Leider ist wahr, dass durch Beauchaine 1744 dieses Zwitterspiel maurerischer Anschauungen eingeführt war, dass der deputirte Grossmeister Lacorne weibliche Zusammenkünfte für· den Grossmeister Clermont veranstaltete, dass überaupt die vornehmen Herren, die Freimaurer zu sein vorgaben, wie der Graf Bernonville um 1760, und andere sich in der Gesellschat der Damen ergötzten, und dass dem Drängen derselben, wenn sie gar fürstlichen Geblütes waren, die Galanterie nachgab; aber der Grossorient hätte sich nicht darauf einlassen sollen, die Adoptionsmaurerei anzuerkennen und gar die Rituale derselben (Kloss, Bibl., Nr. 2112 fg.] zu sanctioniren; sondern hätte viel vernünftiger und besser gehandelt, wenn er das ganze Institut für unregelmässige Arbeit erklärt hätte.

Die Stimmen über diese Adoptionsmaurerei sind sehr getheilt; Thory in seiner Histoire de la fondation du Grand Orient de France, S. 360 fg., bespricht überhaupt diese gemischten Gesellschaften, namentlich den Rite d'adoption und äussert sich folgenderweise:
“Le rite d'.Adoption est presque le seul qui soit aujourd'hui en usage dans les Loges françaises et etrangères. Les dames y sont admises sous le titre de Soeurs d'Adoption. Le rituel et le formulaire, tels qu'ils existent, ont été accueillis par le Grand Orient en 1774. Ce corps avait déclaré dans sa déliberation.du 10 Juin qu'il les prenait en considération.
Il voulut aussi comprendre dans sa réforme ces sortes d'assemblées qui, avant cette époque, étaient bien loin d'offrir la regularité et la décence qu'elles ont présentées depuis. Il est a croire que les reunions de dames dans les Loges ne s'introduisirent, tant dans Ia France que dans l'étranger, qu’à la suite du relâchement des moeurs maçonniques. ll n'était point d'essence de l'ordre de faire participer les femmes a ses mystères réservés aux hommes.
Aussi voit­on que les premiers Maçons qui eurent l'idée de les recevoir dans leurs assemblées secretes, ne les ont point admises avec le titre de Franches-Maçonnes, mais seulement sous celui de Chevalières d'un Ordre queclconque. Ils portaient le scrupule jusqu'à refuser a.ux lieux dans lesquels elles s'assemblaient le nom de Loges; on les appelait Chantiers, Forêts, Bosquets, Temples d'amour, etc.
Ce ne fut que postérieurement. à 1736 qu'on appela les dames du nom de Soeurs; avant, elles étaient qualifiées de Cousines ou d'Amis [!].”


Bonneville sagt in seinem Werke: “Les Jésuites chassés de la Maçonnerie etc., II, 80 sq. (in der deutschen Uebersetzung, II, 105):
“Die Franzosen haben sogar eine Freimaurerei f'ür das Frauenzimmer geschaffen, wovon sie die Versammlungen Loges d’Adoption nennen; und da diese so zielmich aus den auserlesenen Personen des Hofes und der Stadt bestehen, so laufen alle französischen Maurer diesen Adoptionslogen zu, welche sich übrigens durch ihren Anstand und ihre Wohlthätigkeit sehr empfehlen.
Unsere Franzosen bekümmern sich sehr wenig um das Schelten einiger mürrischen Maurer, die ihnen täglich mit der Mahnung in den Ohren liegen,dass die Maurerei in Frankreich nie gedeihen werde, solange man Frauen den Zutritt gestatte. Sie nenen diese Pedanten, und in der Ueberzeugung, dass, wenn es in der Maurerei ein wirkliches Geheimniss gäbe, solches schon längst bekannt sein müsste, beschränken sich alle ihre freimaurerischen Kenntnisse auf die Erkennungszeichen; und alle ihre Logenreden sind nichts als Ermahnungen, oft mit einem grossen Aufwande von Beredsamkeit, bedrängten Brüdern oder Reisenden beizustehen, und im ganzen Chor zu trinken auf das Wohl derjenigen Schwestern, welche die Zierden ihrert Tafelloge sind.”

Der Abbé Robins eiferte in seinen Recherches sur les initiations anciennes et modernes (Amsterdam 1779}, S. 151-154, 172 (Dresden 1781, S. 111 fg., in der Encycl. maç. p. Chemin-Dupontès, I, 83-85 und 105) (Ueber die Einweihung in alten und neuen Zeiten 5782, S.123-125) gegen dergleichen Verbindungen folgenderweise.
“L’usage d'admettre des femmes dans quelques-unes de leurs assembléées sera peut-être un jour la cause de la décadence de la maçonnerie de France. La galanterie française accoutumera peu-à-peu les maçons à s'écarter des loix rigoureuses de leur Ordre; et trop occupés du soin d'amuser ce Sexe par des fêtes brillantes, ils perdront de vue leur vrai but.
C’'est surtout dans les grandes villes, comme Paris, où leur admission peut devenir dangereuse par l'impossibilité morale d'en faire toujours un choix bien épuré.
L'usage d'introduire des femmes dans les loges, est très moderne; la France est la première nation qui ait donné cet exemple aux autres.
La maniere de les recevoir, le cérémonial de leurs assemblées, n'ont aucun rapport avec ce qui se pratique dans les loges d'hommes; le secret que les uns et les autres sont tenus d'observer, fait voir la différece qui caractérise les deux sexes; il est presque sans exemple que les uns le violent et il est assez rare que les autres le gardent scrupuleusement. Le grand orateur du Grand-Orient (d. i. Bacon de la Chevalerie, vgl. Kloss, Geschichte Frankreichs, S. 198, wo die folgende Stelle aus führlicher in deutscher Uebersetzung mitgetheilt wird) disait en leur faveur, en adressant la parole au Grand·Maitre:
‘Les prêtres d’Isis et d’Osiris ont admis leurs femmes et leurs filles aux mystères impénetrables et terribles de l'initiation. Les Grecs ont eu leurs Sibylles; les Romains leurs Vestales, dans tout les orders de la vie civile l’Europe entire a produit des héroïnes: eh! Pourquoi les Maçons de France, qui sont pères, époux, fils, frères, ne les admettraient-ils pas parmi eux?’
Où cet orateur de la Maçonnerie de France a-t-il pris que les femmes fussent admises aux mystères d'Isis et d'Osiris? Hérodote dit expressément qu'elles ne furent jamais admises à aucuns mystères de l'Egypte. Les Sibylles etaient des prophétesses célèbres, non seulement chez les Grecs, mais encore chez les Romains; leur vertu y etait en grande vénération, ainsi que celle des Vestales; elles vivaient dans les retraites, loin du commerce des hommes. Ainsi leur exemple ne pouvait être d'aucun poids en faveur de l'association dont il parlait.”


Lenoir dagegen in seinem achten Vortrage (s. Lenoir [1813])
“observe que les Loges d'adoption pour les femmes sont une imitation d'un usage des prêtres de l'antiquite, qui introduisaient des femmes dans les cérémonies religieuses, sans cependant les initier aux mystères. Il prouve que les banquets, les chants, les fêtes et les danses qui se pratiquent dans la Franche-Maçonnerie, après la récéption d'un candidat, se pratiquaient egalement chez les Egyptiens après l'initiation.”

Der Aufsatz im Köthener Taschenbuche, 1802, S. 237-20, “Damen­Maurerei, oder Ernst und Spass” betrachtet die Sache sehr ernsthaft und kommt zu dem Resultate, dass für die wahre Maurerei durch das Herbeiziehen der Frauen nichts erreicht werde und wird durchaus nicht entkräftet durch die pathetischeSchutzrede Chemin-Dupontès' in der Encyclop. maç., I, 193-199, deren Anfang uud Ende wir hier mittheilen wollen:
“Persuadés, comme le galant François I., qu'une cour sans femmes est une année sans printems, et un printems sans roses, vous allez ouvrir aux dames l'entrée de votre temple.
Cet usage d'admettre les femmes dans la maçonnerie, est désapprouvé par un très bon et très savant rnaçon, l'auteur des recherches sur les initiations anciennes .et modernes' (d. i. Robins). Tout ce qu'il dit à cet egard est très juste: mais il me parait avoir oublié une observation essentielle, c'est que Ia présence des femmes dans nos temples n'aménerait la décadence de l'institution qu'autant qu'elles existeraient à toutes les tenues, - que les loges d'adoption ne sont qu'un objet très·secondaire, un luxe dans Ia maçounerie, un aimable délassement, qui ne peut nuire aux véritables mystères; exelusivement pratiqués par des hommes.”

“Ainsi la maçonnerie, qui rend Ies hommes meilleurs, perfectionnera encore les femmes; et de double perfectionnement il résultera que les maçons unis à des maçonnes, verront renouveler en leur faveur, le prodige par lequel les Dieux récompensèrent la vertu et le tendre attachement de Philémon et de Baucis, c'est-à-dire que leur toit domestique sera converti en un temple sacré, séjour du bonheur le plus pur.”

Selbst ein Engländer lässt sich in Freemas. Quarterl. Review 1837, S. 466, zu Gunsten dieser Freimaurerei in folgenden Worten vernehmen:
Adoptive Masonry stands a bright monument to female secrecy and fidelity, and proves how wrong all those are who fancy a woman is not to be trusted. There it not, in the whole system of adoptive Masonry a single step with which the most ascetic moralist could find fault; on the contrary, all is pure, all is beautifull; it is the brightest jewel with which the sombre records of.Masonry are spangled.”

Die Logen Frankreichs blieben hauptsächlichste Heimat der Maçonnerie des Dames und namentntlich waren es zwei Logen in Paris:
“La Candeur”, und
“Des neuf soeurs”, welche im vorigen Jahrhundert die Glanzpunkte dieser Aftermaurerei bildeten, und deren erstere sogar in der 1778 erschienenen Schrift: “Esquisse des travaux d'Adoption, dirigés par les Officiers de la Loge de la Candeur, depuis son établissement (21 März 1775 par le Marquis de Saisseval, la Marquise de Courtebonne, les Comtesses de Polignac et de Choiseul-Gouffrier etc.)”, die den durchlauchtigsten Schwestern: la duchesse de Bourbon, Grande-Maîtresse de l'ordre des Franche-Maçonnes d'Adoption en France, la duchesse de Chartres et la Princesse de Lamballe (welche 1781 Grossmeisterin der schottischen Adoptionsmutterloge war) gewidmet ist, sich S. 3 in dem “Essais sur le but de l'adoption” folgenderweise ausspricht:
“La plus parfaite moitie du genre humain ne pouvait pas ètre toujours bannie des lieux qu'elle devait embellir. Est-il des biens parfaits loin des graces? Nous avons donc admis des Soeurs à ceux de nos mystères, auxquels elles pouvaient, elles devaient même participer; nous leur avons rappelé notre principe, en leur faisant adopter notre but.
Un nouveau paradis terrestre est le lieu que nous habitons; elles y viennent goûter des fruits délicieux qui leur sont permis, et instruites par un fatal exemple, elles ont le courage de se soustraire à l'appas des fruits defendus. Rien n'est plus propre à prouver a nos Soeurs Ia haute opinion que nous avons de leur .sexe, que l'effort que nous avons fait, apreè tant de sieclès, en les associant a nos mystères.
Par l'adoption nos coeurs sont à elles, nos esprits sont unis aux leurs. Elles partagent nos sentimens comme nos asyles, nos lumières comme nos travaux; notre bonheur est commun; et notre felicité s'augmentant par la communication, nous arrivons à cet heureux degré de jouissance, où le coeur satisfait et comblé n'a plus de désir à former.
De toutes les sociétés établies parmi les hommes, il n'en est point de plus sage, de plus parafaite, de plus untiel que la Maçonnerie. La vertu, voilà son esprit; le bonheur du genre humain, voilà son but; la vertu et le bonheur en composant ses advantages et ses douceurs, sont les seuls objets de ses devoirs. Utile par la morale qu'elle enseigne, agréable par l'union fraterelle entretient , délicieuse par l'amitie fraternelle qu'elle inspire, la Maçonnerie est sur la terre une ébauche de la félicité des Cieux.”

- Die Loge La Candeur beging 25. März 1775 ein Adoptionsfest, dem der Grossmeister nebst seiner Gemahlin, die Herzogin von Bourbon und die Prinzessin von Lamballe beiwohnten. Es wurde 27. Juni 1778 ein Preis von 300 Livres ausgeworfen über die beste Beantwortung der Frage; Welcbes ist die am meisten Kosten ersparende, vernünftigste und für die Gesellschaft nützlichste Art, Findelkinder von ihrer Kindheit an bis zum siebenten Lebensjahre zu erziehen? Der Preis wurde 27. Dec. einem Bruder Duclerq, Kaufmann zu Bordeaux, zuerkannt.

Die Loge bestand in diesem Jahre aus 51 activen Brüdern, meist vom Adel, an deren Spitze der Stifter der Adoptionsloge Marquis v. Saisseval als Meister und der Marquis d'Arcambal als premier Inspecteur standen; Bacon de la Chevalerie war Almosenier. Das Verzeichniss von 31 Schwestern enthält nur hochadeliche Damen, Grossmeisterin der Adoptionslogen war die Herzogin von Bourbon, die im Mai 1775 in der Loge Saint-Antoine vom Grossmeister selbst in einer glänzenden Versammlung installirt wurde; neben ihr sind noch die Herzogin von Chartres und die Prinzessin Lamballe zu erwähnen, welche ausser den ersten drei Graden noch die der Ecossaise und der maîtresse parfaite besass.
Im J.1779 hattesich die Zahl der Schwestern auf 20 verringert, die Comtesse de Brienne, Repräsentantin der Grossmeisterin, Herzogin von Bourbon und zwei andere besitzen den Grad Sublime Ecossaise.
Die Prinzessin Lamballe ward 20. Febr. 1780 Grossmeisterin der schottischen Adoptionsmutterloge
 In der Loge “Des neuf soeurs” ereigneten sich allerlei unangenehme Vorfälle (Kloss, Geschichte der Freimaurerei in Frankreich, S. 260) und der Abbé Cordier wurde sogar beschuldigt, sich als Vorbereitender Unanständigkeiten erlaubt zu haben. Die Sache verhielt sich anders und scheinen politische Gründe gewirkt zu haben. Sollten die Namen Helvetius und Voltaire, welche in der Loge Des neuf soeurs viel galten, nicht Veranlassung gewesen sein?

Auch in Nimwegen war unter Vorsitz des Prinzen von Waldeck und der Prinzessin von Oranien eine Adoptionsloge; sowie auch in der pariser Loge Du contrat social brillante Festlichkeiten begangen wurden, an deren Schluss der unerlässliche Ball stattfand.

Bald erloschen diese galanten Tändeleien, bis nach der Revolutionszeit unter dem Schutze des Kaiserthums und der Restauration dieselben wieder erwachten. Obgleich die Mehrzahl der pariser Departementallogen wie
De l'Amitie,
L'union,
du centre des amis,
La vraie Réunion,
De Ia croix. u. a. m.
seit 1799 Adoptionslogen hielten und damit Wohlthätigkeitshandlungen und Bälle verbanden, so wurden dieselben doch alle verdunkelt durch die Loge Impériale des Francs-Chevaliers, welche von Strasburg nach Paris verlegt wurde, und in welcher 15. Sept. 1805 die Kaiserin Josephine erschien und unter ihren Augen Damen ihres Hofes aufnehmen liess, während die Baronesse Diétrick den meisterlichen Hammer führte.
Nicht weniger uninteressant war das Fest, das 1807 in der Loge De Sainte Caroline begangen wurde. Bei dieser zahlreichen Versammlung führte die Herzogin von Vaudemont den Vorsitz und zugegen waren unter andern der Prinz Cambacérès, der Graf Regnault de Saint-Jean d'Angely, die Prinzessin von Carignan, die Gräfinnen Girardin, Roncherolles, de Croix­ Mard, de Montchenu, de Laborde, de Narbonne, de la Ferté-Mun, d'Ambrugeac, de Bondy u. a. m.

Obgleich während der Restaurationszeit die Festlichkeiten, welche die Logen vom Rit Misraïm 1820 unter dem Vorsitze des Grafen Muraire und der Marquise de Fauchécour, oder 1826 die Loge La Clémente Amitié unter dem Vorsitze des Herzogs von Choiseul und der Gräfin von Curnieu veranstalteten, von grossem Glanze begleitet waren, so wurden dieselben aber durch die Festlichkeit der Loge Belle et Bonne 9. Febr. 1819 ganz in Schatten gestellt.
Ein gleichzeitiger Berichterstatter sagt von dieser unter der Marquise von Villette abgehaltenen Loge:
“Tout ce que la France comptait alors de notabilités dans le parlement, les sciences et les arts, dans Ia carrière militaire et administrative, d'illustres etrangers, le prince royal de Wurtemberg, entre autres, assistaient a la séance de Ia Loge de Belle et Bonne. Outre l'élite des soeurs françaises, la duchesse de Ia Rochefoucault, notemment, on y voyait aussi lady Morgan et plusieurs autres soeurs étrangères, distinguées par leur naissance ou par leurs talents. Le buste de Voltaire y fut solennellement inauguré. La soeur Duchesnois lut, en l'honneur de l'illustre écrivain, une ode que Marmontel avait composée et à laquelle le firère de Jouy avait ajoute deux strophes adaptées a la fête du jour; elle déposa sur le buste de Voltaire la même couronne dont son front avait été ceint au Théâtre-français, en 1788, par la célèbre tragédienne Clairon; puis, avec le concours du frère Talma, elle récita la belle et terrible scène de Ia double confidence dans Oedipe. Beaucoup d'autres artistes se firent pareillement entendre et une abondante collecte termina dignement Ia séance.
A la suite.il eut un bal, qui se prologea une partie de la nuit.”

Eine ebenso glänzende Feier veranstaltete unter dem Vorsitze ihres Meisters L. Th. Juge die Loge La Clémente Amitié 22. Oct.1838 zu Paris, bei welcher Gelegenheit fünf Medaillen für verdienstvolle Handlungen der Menschenliebe an Männer und Frauen ausgegeben wurden; schon 12. März 1840 gab diese Loge ein ähnliches Fest, wie am 12. Dec. 1838 die Loge Isis Monthyon, welche den Gebrauch der Verdienstmedaillen zuerst eingeführt hat, ein Gebrauch, der bei solchen Gelegenheiten - und eine grosse Anzahl französischer Logen haben diesen Luxus der Hinzuziehung der Frauen in die Logenräume angenommen - sich erhalten hat, wie dies in diesem Jahre (1864) noch die pariser Loge Jérusalem des Vallées Ec. bewiesen hat.

Auf diese Art verhalten sich die meisten Logen, welche die Adoptionsmaurerei treiben. Mangourit versuchte 1809 durch die Stiftung der Gesellschaft der Dames écosaaises de l’hospice du Mont Thabor (s. Schottische Damen [Damen, schottische]) die Adoptionsmaurerei zu veredeln und stellte als Hauptzweck dieser Institution auf,
“bedürftigen Personen weiblichen Geschlechts von guter Aufführung Beistand, Brot und Arbeit zu geben, ihnen zunächst beizustehen, dann sie zu trösten und sie vermittelst Wohlthaten und Hoffnung vor dem Aufgeben guter Grundsätze und den Foltern der Verzweiflung zn bewahren.”

Diese Bestrebung mislang, oder war wenigstens nicht von langer Dauer, da seit 1814 dieser Gesellschaft nicht weiter erwähnt wird.

Das Rituelle dieser Adoptionsmaurerei ist in den Schriften (Kloss, Bibl., Nr. 2112-2119, 2122, 2128, 2131) behandelt, worin auch zum Theil die Statuten und Reglements vorkommen, unter denen mitunter eigenthürnliche sich finden, wie (Nr. 2114) Maçonnerie des Dames, Art. 11, 12:
“Aucune femme ou veuve ne pourra être reçue, sous quelque prétexte que ce puisse être, si elle a le moindre soupçon de grossesse.”
“Aucune femme, veuve ou fille, ne pourra pareillement être reçue sous quelque prétexte que ce soit, dane un tems critique; et le jour de sa réception sera éloigné, au moins de quatre jours, de celui où elle aura cessé d'avoir ses règles et au moins de huit de celui qu'elle comptera qu'elles pourront lui reprendre.”

Und gerade diese Stelle findet sich auch im zweiten Theile der Nécess. maçon., par E. J. Chappon, p.131-198 (Maçonnerie d'Adoption), Statut V:
“Nulle femme enceinte ou dans le tems critique ne pourra être admise à Ia réception.”

Für gewöhnlich bearbeitete man nur drei Grade, den der Apprentie, der Compagnonne, später fügte man noch die Maçonne (Maîtresse) parfaite und d'Elue écossaise (sublime Ecossaise, souveraine illustre écossaise) hinzu.­ Thory kennt nur vier Grade, aber es finden sich auch acht Grade angegeben, nämlich
6) dignité écossaise,
7) princesse de la couronne,
8) amazone anglaise;
ja sogar zehn
5) écossaise,
6) chevalière de la colombe,
7) sublime écossaise,
8) chevalière de la bienfaisance,
9) souveraine illustre maçonne,
10) princesse de la couronne.

In dem Essai sur les mystères et le veritable objet de la confrérie des Francs :Maçons, Haye 1771 (sec. edit. Amsterdam 1776) (nachgedruckt im Abrégé de l'histoire de la Franche-Maçonnerie, Londr., Lausanne 1779, übersetzt in der Freimaurerbibliothek, St. 1, S. 99-124) findet sich folgende, das Ritual der Maçonnerie d'Adoption beleuchtende Stelle:
“Man hat seit einiger Zeit Frauen vermittelst der Adoption (par adoption) in die Mysterien der Freimaurerei eingeweiht, doch sind diese von den Mysterien der Männer verschieden. Die Grade für die Frauen sind aus dem ersten Buche Mosis entnommen; die Symbole und Formen sind die sinnbildliche Vorstellung der Tugenden ihres Geschlechts; und die Loge stellt bei den Aufnahmen den Garten Eden dar.
Dieser Orden bezweckt, die Lehren ans Herz zu legen, dass das Weib von Gott zur Gehülfin des Mannes erschaffen ist, dass diese Vereinigung des Geschlechts als ein Geschenk seiner wohlthätigen Hand, eine Freistadt des Vergnügens, der Ruhe und der Unschuld sein sollte, dass aber die Neugier auf der einen und die Süssigkeit der Verführung auf der andern Seite den Fall des ganzen menschlichen Geschlechts verursacht haben.
Die Neuaufgenommenen werden daher ermahnt, diesen Schaden zu ersetzen durch ihre Tugenden, wodurch allein sie das Band der Vereinigung befestigen und uns die reinen und wahren Freuden des Lebens schmecken Iassen können.”

Der erste Grad hat vollständig den einleitenden Charakter und ist darauf gerichtet, den Aufzunehmenden Empfänglichkeit für die emblematischen VorIesungen und Symbole, welche in den folgenden Graden vorkommen, beizubringen.
Im zweiten Grade beschäftigt man sich mit dem Garten Eden und dem Sündenfalle, während der dritte Grad den Thurmbau zu Babel und die Zerstreuung des menschlichen Geschlechts zum Vorwurfe hat.
Im vierten Grade repräsentiren die Beamten Moses und Aaron und deren Frauen nebst den Söhnen Aaron’s; die Ceremonien und lustructionen beziehen sich auf die Wanderzüge der Israeliten als eines Symbols der Wanderung des Mannes und der Frau durch diese nach einer bessern Welt.
Im fünften Grade, der “Maîtresse parfaite”, wird die Neugier der Recipiendin auf die Probe gestellt und darnach deren Annahme vollzogen oder für spätere Zeit verschoben.
Der sechste Grad bietet nichts Merkwürdiges dar, der siebente Grad soll zu Versailles 1784 entstanden sein und hat einige Aehnlichkeit mit dem der Fendeurs. Noah, die Arche und die Taube spielen in diesem Grade eine grosse Rolle.
Der achte Grad, in dem die Loge eine Kapelle vorstellt, ist offenbar ein Einschiebsel und in seiner ganzen katholisirenden, kirchlichen Haltung eine Art Vertheidigung gegen die Vorwürfe der Irreligiosität und des Unglaubens.
Der neunte Grad verlangt drei verschiedene Räumlichkeiten, deren erste die Stadt Bethulia, deren zweite das Thal gleichen Namens, deren dritte das Lager der Assyrier darstellt, wie die Recipiendin die Rolle Judith's übernimmt.
Der zehnte Grad wird im Conseil Salomos abgehalten und stellt die Aufnahme der Königin von Saba beim König Salomnon vor.

Man sieht aus diesem Gerippe, dass die Grade gar nicht miteinander zusammenhängen und in infinitum weiter gebaut werden können.

- Dieses Zwittergeschöpf maurerischer Anschauungen ist fast nur auf Frankreich beschränkt geblieben, denn die Muhmen Gärtnerinnen (cugine giardiniere), welche sich unter dem Vorsitze der Königin Karoline von Neapel versammelten (vgl. Adalbert vom Thale in der Zeitung der Ereignisse und Ansichten, Beilage zum Gesellschafter (von Gubitz zu Berlin) vom J. 1823, S. 45) gehören nicht hierher, sondern bilden das Complement zum Orden der Carbonari.

In den Niederlanden wurde das Bekanntwerden und die Ausbreitung der Maçonnerie d'Adoption durch einen Grosslogenbeschloss vom J. 1810 verhindert.

In England ist dieselbe nie in weitere Ausübung gekommen, doch hat man dort, um sich den Frauen gefällig zu erweisen, freimaurerische Bälle ins Leben gerufen, zu welchen ausser den Frauen auch Nichtmaurer gezogen werden und die Brüder mit allen ihren Insignien und Kleinodien geschmückt erscheinen, ohne dass sie zu fühlen scheinen, wie wenig passend dergleichen ist. Freilich kann man als Entschuldigung sagen, dass man in England wie in Nordamerika gewohnt ist die verschiedenen Genossenschaften in ihren eigenthümlichen Trachten öffentlich erscheinen zu sehen.

In Nordamerika hat sich zwar - wenigstens ist es uns nicht bekannt - kein völliges System der Adoptivmaurerei ausgebildet, aber es bestehen die verschiedenartigsten Grade, “ladies degrees”, genannt, welche ohne wirklichen Zusammenhang mit der Maurerbrüderschaft doch als Ehrenzeichen an Maurerwitwen, Frauen, Schwestern und Töchter, mit und ohne Cerernonien vertheilt, ja einige (die mit * bezeichneten) sogar dem Royal-Arch-Grade beigesellt werden.
Dergleichen sind:
the eastern star,
the * good Samaritan,
the Masons daughter und
the * Heroine of Jericho.
Der neueste dieser Humbugs ist der “eastern star”, den Dr. R. Morris in Louisville 1861 aufgebracht hat, und wovon ein gewisser Major Thornton Grand Superintendent und ein Kapitän T. Wilson sein Deputirter ist. Um diesen “östlichen Stern” unterzubringen, werden sogar in Neuyork maurerisch-gesellige Unterhaltungen (eine Art Schwesternfeste) veranstaltet, bei denen neben Musik und andern geselligen Genüssen auch die Vertheilung dieser Spielerei geschieht.

In Deutschland, das doch sonst nicht übermässig abwehrend gegen Aftermaurerei in frühern Zeiten sich erwiesen hat, fand die Damenmaurerei keinen günstigen Boden, und ein Versuch, den man v. Hund zuschrieb, blieb nur Versuch, sowie auch der Rosenorden sich nur einer kurzen Blüte zu erfreuen hatte.
Man hat in Deutschland, um die Frauen mit der Maurerei näher bekannt zu machen und sie an den Segnungen derselben zu betheiligen, zu dem Mittel gegriffen Versammlungen zu halten, wo mit oder ohne Ritual das geistige Leben des Bundes ihnen näher gebracht werden sollte, man hat bei verschiedenen Gelegenheiten, wie am Sylvester, zu Ostern, um Johannis die Frauen eingeladen um am frohernsten Male theilzunehmen, ja man hat in einzelnen Logen, welche über grössere gesellschaftliche Räume zu gebieten haben, sogar Bälle und Concerte veranstaltet, deren Ertrag zum Besten Dürftiger verwendet wurde.
Im ganzen ist man aber diesen Dingen in Deutschland nicht hold und gegen wirkliche Schwesterlogen, d. h. solche Versammlungen, in denen ein Ritual gebraucht, die Brüder in maurerischer Bekleidung erscheinen, hat man sich im allgemeinen erklärt, da man weder das wirkliche Ritual preisgeben, noch ein für diese Zwecke neuerfundenes gebrauchen will, indem man in dem einen Falle die Verpflichtungen gegen den Bund zu verletzen glaubt, in dem andern der Ansicht ist, dass durch die Unterschiebung eines Rituals die Wahrhaftigkeit gegen die Frauen beeinträchtigt werde.
Ball und Concert gehören überall nicht in die Logen und da, wo man die Frauen zu blossen geselligen Zusammenkünften herbeigezogen hat, hat man, weil dieselben sich mit den Gleichheitsideen der Brüderschaft weniger befreunden können, viel mit einem Geiste der Cotterie und Absonderung zu kämpfen gehabt, der selbst auf die Logenverhältnisse resultirte.
Man hat versucht das Interesse der Frauen für den Bund und dessen Wohlthätigkeitsinstitutionen dadurch zu erregen, dass man sie für solche Anstalten selbstthätig wirken liess, aber bisjetzt ist von den Resultaten dieser Einrichtung, welche nur bei einigen Logen und erst seit kürzerer Zeit eingeführt ist, noch nicht viel zu melden. Es ist das aber ein Punkt der wol der Ueberlegung werth ist, und möglich, dass den Deutschen, welche die freimaurerische Institution ihrer Nationalität gernäss ernster und geistiger erfassen, die Ehre vorbehalten bleibt, die richtige Formel zu finden, unter welcher die Theilnahme der Frauen für den Bund von segensreicher Wirkung ist.


S. 346
Mopsorden (Mopsloge, ordre des Mopses, lodge of the Mopse, Mopselauget).

Dieser androgyne Orden. dessen läppische Gebräuche in dem l'ordre de Francs-Maçons trahi (Kloss, Bibl., Nr. 1860-1866) mitgetheilt werden, ist hinsichtlich seiner Ent­ stehung noch unenthüllt.

Die gewöhnlichste .Annahme ist die, dass nach der Bannbulle Clemens XII., viele (deutsche?) Katholiken sich gescheut hätten ferner dem Freimaurerbunde anzugehören, oder ihm beizutreten, dass dieselben aber nun um das Vergnügen dieser Verbindung zu haben, unbeschadet der Bannbulle die Verbindung der Möpse errichtet hätten. Unter ihnen habe sich auch der galante geistliche Kurfürst von Köln, Clemens August, Herzog von Baiern, befunden, der vor dem Erscheinen der Bannbulle Freimaurer gewesen sei und die Stiftung des Ordens der Möpse vorzüglich deshalb mit begünstigt habe, weil durch denselben der Umgang mit Damen, den er sehr liebte, erleichtert würde.

Ob bei diesem Orden, welcher keinen Eid, nur das Ehrenwort verlangte, die Durchtührung der Verordnung, dass alle Mitglieder römisch-katholisch sein müssen, genau genommen wurde, steht sehr dahin und ist auch nicht ganz glaublich. Wo der Orden wirklich bestand, selbst das ist fraglich, wenigstens hinsichtlich des Entstehens. Die Franzosen schieben ihn den Deutschen zu und diese jenen.
Er soll in Frankfurt a. M. bestanden haben, was in Abrede gestellt wird. Er soll in Holland verbreitet gesen sein, auch das wird in Abrede gestellt.

In Deutschland ist mit Sicherheit derselbe nicht nachzuweisen, trotz Thory's Histoire du Grand Orient de France, S. 347-349. Sicher ist nur die Hannoversche Verordnung vom 8. Febr. 1748, welcher zufolge der Mopsorden auf der Universität zu Göttingen eingeführt gewesen war, und als akademischer Orden behandelt und streng untersagt wird.

Auf Frankreich als Entstehungsort weist der gemeine .Ausdruck “mopse” für die Gattin eines Freimaures hin, weniger die Inschrift: “Assez” auf der bei Merzdorf, Denkmünzen, S. 42, Nr. 94 erwähnten Medaille, eher noch die im Abschnitte befindliche Legende L. C. D. M. F. A. N. ce 10. Jan. 1745, welche zu erklären ist mit: Loge centrale des Mopses fondée à Nancy.
Freilich stammt eins der wenigen bekannten Exemplare dieser kleinen .Medaille aus Nürnberg, was wieder zu allerlei Scrupeln Veranlassung bietet.

In dem Zacharias'schen Nachlasse (Verzeichniss etc. 1849, S. 123, Nr. 96) fand sich ein Bijou dieser Gesellschaft, bestehend aus einem messingenen vergoldeten Bilderrahmen, in demselben unter Glas ein Gemälde, einen Mops vorstellend, der auf musivischem Boden sitzt.

Nachdem die Maçonnerie d'.Adoption (s. d.) aufkam, verschwanden die Möpse. (vgl. Kloss, Geschichte der Freimaurerei in Frankreich, I, 40 fg. Kloss, Bibl., Nr. 1860 fg.)


Erster Band, S. 211
Damen, schottische, vom Hospitale des Berges Tabor, auch Hospitaliterinnen vom Berge Tabor (Dames écossaises de l'hospice du Mont Thabor),

wurde eine Gesellschaft von Damen genannt, welche sich im Laufe des J. 1809 bei der Loge des Commandeurs du Mont-Thabor gebildet hatte, und die sich durch Zweck, Statuten und Arbeit vorgenommen hatte, die Adoptionsmaurerei zu veredeln. Hauptzweck derselben war, neben den gesellschaftlichen Zusammenkünften, Wohlthätigkeit gegen Kranke und Genesende.
“L'objet principal de cette institution est de donner du pain et du travail. aux personnes de bonne conduite du sexe feminin qui en manquent, de les aider d'abord, de les consoler ensuite et de les préserver par les bienfaits et l'espérance de l'abandon des principes et du supplice du désespoir.”

Die Statuten und Rituale der vier ersten Grade wurden 1812 u. d. T.: Statuts et réglements généraux du souverain chapitre metropolitain des Dames écossaises en France, de l'hospice de Paris, Colline du Mont-Thabor, zu Paris durch Mangourit redigirt herausgegeben.
Die beiden ersten Grade hiessen die Wahl und die Mitglieder Novices Maçonnes und Compagnonnes discrétes, die beiden folgenden Grades de perfection und Grands mystères und zerfielen in Maîtresse Adonaïte und Maîtresse Moraliste.
Die Ertheilung der höchsten geschichtlichen und philosophischen Stufen behielt sich der Général chef d'ordre Mangourit vor, der auch 20. Febr. 1811 das Souverain chapitre metropolitain des Dames écossaises den Commandeurs du Mont Thabor affiliirte.

Die Devise des Ordens war:
“A bon chevalier, bon hospice.”

(Thory Histoire de la fondation du Grand Orient de France, S. 378-383;
Ordre des Dames éécossaises de l'hospice du Mont-Thabor, in der Asträa, 1830, V, 197;
Kloss, Geschichte der Freimaurerei in Frankreich, I, 539-540.)

Siehe auch: